Cette enseignante de psychologie, pédagogie et didactique à l’Institut KIRIMAVOLO, équilibre son temps entre ces deux métiers qu’elle exerce au quotidien. Elle invite les jeunes filles à saisir l’opportunité d’apprendre à conduire la moto tout en faisant preuve de leurs compétence. Ce travail est plus lucratif que l’enseignement a-t-elle signifié à radiosalama.net.
Chrinovique BAUMA WA AMBAMBA est une femme célibataire Agée de 26 ans. Du point de vue professionnelle, elle est une conductrice de moto taxi passionnée aux coté de l’enseignement. Pour elle, le service de taxi est favorable en vue de maximiser sa recette journalière. Faisant ainsi preuves de ses compétences, Elle note que normbreuses personnes ne veulent pas faire preuve de leurs talents sans aucune raison, L’une des ses motivations à servir d’exemple aux autres femmes.
« Je fais ce service parce ce que je comprend que dans la vie il faut toujours aller en avant, savoir surtout ses potentialités, ses capacités et savoir les utiliser pour garentir mieux sa vie. Je comprend que ce c’est vraiment bon de faire ce travail. ici je suis d’ailleurs en joie, je me sent à l’aise dans ces métiers parce que c’était mon rêve. J’avais vu que les taximens consomment beaucoup de mon argent que je payais pour le transport lorsque je me rendais au service chaque jour et lors de mes voyages. Cela m’a aussi motivé à faire du taxi.», a-t-elle assuré.
Chrinovique BAUMA AMBAMBA, est capable de se procurer plus de Trentes cinq milles Francs Congolais (35000Fc) vers les après midi. Pour elle, ce service vaut mieux que l’enseignement vu qu’elle constitue une opportunité d’assurer son indépendance financière. Grâce à ce travail, elle s’est deja procurée une parcelle en ville de Butembo. Départ ces avantages, elle sinquiète de l’attitude des femmes qui pensent que ce métier est reserver uniquement aux hommes.
« J’ai constaté que souvent, les femmes croient que faire ce service c’est se ridiculiser, je me valorise en société , je ne me trouve pas minimisée, je suis fière de ce que je fais. Le service de conducteur moto, je l’ai déjà fait suffisamment. Je ne l’abandonne pas parce qu’il y a beaucoup d’avantages. Il y des gens à qui tu taxe mille cinq cent francs Congolais, mais ils te paient deux milles cinq cents francs congolais pour féliciter ton courage et ta compétence étant femme dans ce service.» temoigne-t-elle
Pour elle, les femmes doivent oser à dépasser la sous-estimation en vue de faire preuves des leurs compétences. Ainsi, Elle encourage ses paires à lui emboiter les pas vu que l’oisiveté n’est pas avantageux pour une femme. Elle a souligné que le métier de conducteurs est plus rentable que l’enseignement vu la maximisation de recettes journalières.
PATRICE KOKOTA