Dans le cadre de la campagne 16 jours d’activisme contre les Violences faites à la femme, Le collectif des femmes journalistes a tenue une séance de sensibilisation sur le harcèlement sexuelle en milieu scolaire, le samedi 29 Novembre à l’Institut BÈGUE GIOVANNI, situé au quartier Wayene en commune Bulengera. Au cours de celle-ci, les jeunes filles on été appelées à initier des petites entreprises envie de leur autonomisation, pour limité tant soit peu les violences basées sur le genre dans la communauté . Cette activité s’inscrit dans le cadre de la campagne de 16 jours d’activisme.
Prenant la parole, l’autorité morale de cette structure, ROSE KAHAMBU TUOMBEANE a exposé sur les violences sexuelles en milieu scolaire, une de formes de violences basées sur genre la plus enregistré en communauté, particulièrement dans des écoles. Elle a fait savoir que les causes de cette violence sont souvent liées à l’état de faiblesses qu’affichent certaines filles insouciantes . Ainsi, certains enseignants profitent de cette état de faiblisse pour harceler sexuellement les filles en milieu scolaire en échange de cotes.
« Les enseignants doivent considérer les élèves comme leurs enfants car lorsqu’ils sont au cours avec les élèves ils jouent les même rôle que les parent. ils ne doivent pas profité des certaines situation et aptitudes physichiques des certaines filles pour les sollicité sexuellement pour qu’ils donnent des points sexuellement transmissibles, mais plutôt les orienter pour leur épanouissement, au même pieds d’égalité que les élèves garçons. J’appelle les élèves filles à ne pas se laisser faire et à inviter la fréquentation des hôtels et tous les endroits suspects qui peuvent favoriser les violences sexuelles à leur égard.>> a-t-elle conseillé.
A l’issu de cette séance d’éducation, ACHILE KALENGA MUYISA président du comité des élèves à l’institut BÈGUE GIOVANNI félicite le Collectif des Femmes Journalistes pour cette sensibilisation et s’engage dans la lutte contre les Violences Basées sur le Genre au sein de son institution.
«Les filles et les garçons sont tous égaux et ont les mêmes droits. c’est pourquoi j’appelle les filles en fournir beaucoup d’effort pour lutter contre le harcèlement sexuelle en milieux scolaires. Elles doivent apprendre à être indépendantes car lorsqu’elles tendent leurs main à n’importe qui, elles s’exposent aussi aux violences sexuelles dans la communauté ». a-t-il indiqué.
Par ailleurs, l’élève kavira Joyce élès souligne que les filles doivent aussi exercer et s’inscrire en options techniques pour lutter contre les inégalités de genre. Étant une éducatrice, la femme est mieux placé pour la résolution des certains problèmes communautaires. Elle appelle ses paires a une prise de conscience afin d’éradiquer les violences basées sur le genre en milieux scolaires.
« Nous femmes, devons être autonomes et fières de nous-même pour que les hommes ne nous négligent pas. Nous sommes compétentes, il suffit juste de se décider à faire telle ou telle autre chose. Une fille qui ne demande rien à un garçon est une fierté pour la communauté à cause de son autonomisation. Nous devons aussi cultiver l’esprit d’équipe pour conscientise les autres envoyé de notre épanouissement. je m’engage dans la sensibilisation des jeunes filles, adolescentes surtout, pour que cesse les viols dans notre région.» affirme KAVIRA Joyce, 16 ans révolus.
Rappelons que cette campagne de 16 jours d’activisme relative à la lutte contre les violences basées sur le genre a débuté le lundi 25 Novembre sur tout l’étendu de la République et sera clôturée le 10 Décembre prochain.
CHRISTELLE KASOKI.
